Le peuple qui marchait
ATG094. Recueil de Montbéliard
Strophe 1
1. Le peuple qui marchait dans d'épaisses ténèbres voit resplendir enfin la lumière des cieux.
Ceux que la mort couvrait de ses voiles funèbres aux doux rayons d'en-haut ouvrent enfin les yeux.
Strophe 2
2. Que par de saints transports
éclate notre joie !
Les temps sont accomplis et l'Enfant nous est né ;
Dans sa fidélité, le Seigneur nous l'envoie ;
Comme il l'avait promis, le Fils nous est donné.
Strophe 3
3. Né dans la pauvreté, couché dans une étable, son nom est l'Éternel ; c'est lui qui nous a faits.
Il est le Conseiller, le Dieu fort, l'Admirable ;
O pécheur, viens à lui : c'est le Prince de paix.
Strophe 4
4. Jésus tient en sa main le sceptre de justice et, pour l'éternité, son règne est affermi.
Il faut, au nom de Christ, que tout genou fléchisse et qu'enfin, sous ses pieds, tombe tout ennemi.
Texte de Charles Decoppet
ATG094. Le peuple qui marchait
Issu du recueil « À Toi la Gloire » — Référence : Esaïe 9.1-6
— Thème : Jésus-Christ : sa naissance