AF653. J.-P.-E. Hartmann
Strophe 1
1. Quelle est pure et belle, au matin des ans, l'amitié fidèle, fleur d'un beau printemps !
La sainte alliance où l'on a pour loi la même espérance et la même foi, la même espérance et la même foi.
Strophe 2
2. Joyeuse auréole aux jours de bonheur, l'amitié console quand vient la douleur.
À l'heure où tout semble défaillir en nous, qu'il fait bon ensemble ployer les genoux.
Qu'il fait bon ensemble ployer les genoux !
Strophe 3
3. Celui qui s'avance tout seul ici-bas reste sans défense, tombe à chaque pas.
Mais l'orage même rend les vrais amis o bienfait suprême !
Plus forts, plus unis, o bienfait suprême !
Plus forts, plus unis.
Strophe 4
4. À travers la vie, amis , gardons-la, l'amitié bénie qui nous gardera.
Amitié céleste, eclose au printemps, que ta fleur nous reste jusqu'au soir des ans !
Que ta fleur nous reste jusqu'au soir des ans !