L'heureux troupeau.
AF498. Ira David Sankey
Strophe 1
1. L'heureux troupeau reposait sûrement dans un gras pâturage ;
Une brebis, seule, errait follement dans la nuit, dans l'orage.
Par monts, par vaux, exposée au danger, elle fuyait l'amour du bon Berger, elle fuyait l'amour du bon Berger.
Strophe 2
2. Quatre-vingt-dix-neuf brebis sont ici ;
Qu'importe la centième ?
Mais le Berger dit : « Je la veux aussi, c'est la brebis que j'aime.
Dans le désert je veux la retrouver, et, s'il le faut, mourir pour la sauver, et, s'il le faut, mourir pour la sauver. »
Strophe 3
3. Ah ! parmi ceux qu'Il laissait dans le ciel, dans le séjour de gloire, nul ne connut l'amertume du fiel que le Sauveur dut boire.
Nul ne connut tout ce qu'Il a souffert pour sa brebis égarée au désert, pour sa brebis égarée au désert.
Strophe 4
4. « Pourquoi ce sang, dont je vois des chemins les pierres arrosées ?
O mon Sauveur ! pourquoi vois-je tes mains par les ronces percées ? »
« Pour ma brebis qui s'éloigne de moi, mais dont j'ai vu la misère et l'effroi, mais dont j'ai vu la misère et l'effroi. »
Strophe 5
5. Soudain, un cri sur les monts éclata :
« Ma brebis est trouvée ! »
Le chœur joyeux des anges répéta :
« Victoire ! Elle est sauvée ! »
Et, dans ses bras, le céleste Berger la ramenait à l'abri du danger, la ramenait à l'abri du danger.
Texte de Ruben Saillens
AF498. L'heureux troupeau.
Issu du recueil « Ailes de la Foi » — Thèmes : Le Bon Berger – Soli