L'aube naît, sourit et passe.
AF417. Ira David Sankey
Strophe 1
1. L'aube naît, sourit et passe ;
De ses feux, le Roi du jour inonde un instant l'espace pour disparaître à son tour.
Mais, dans la nuit solennelle, un désir s'éveille en moi :
Quand luira l'aube éternelle ?
Divin soleil, lève-toi !
Strophe 2
2. Ici-bas, toute espérance cache derrière elle un deuil ;
Toute joie, une souffrance et toute vertu, l'orgueil.
Mais au ciel, bonheur suprême !
Au ciel, plus d'espoirs déçus !
Je verrai le Dieu que j'aime, et ne l'offenserai plus.
Strophe 3
3. Ah ! déchire tous les voiles qui te cachent à mes yeux, et d'étoiles en étoiles monteront mes chants joyeux !
Mais qu'ici-bas j'abandonne mon âme à tes douces lois, qu'en attendant la couronne, je sache porter la croix !
Texte de Ruben Saillens
AF417. L'aube naît, sourit et passe.
Issu du recueil « Ailes de la Foi » — Thèmes : Le ciel – Fuite du temps - Nouvel An