C'est moi,
c'est moi qui vous console.
AF384. Ludwig van Beethoven
Strophe 1
1. C'est moi, c'est moi qui vous console, à dit l'Éternel aux pécheurs.
Frères ! croyons à la parole qu'il adresse à nos pauvres cœurs.
Il veut verser sur nos blessures l'huile et le vin de son amour, et sur ses faibles créatures faire lever un nouveau jour.
Strophe 2
2. La paix dont le Seigneur inonde les âmes de ses serviteurs, n'est pas la paix d'un triste monde dont les ris sont mêlés de pleurs.
La paix dont il dit : « Je la donne »,
Subsiste dans les jours mauvais ;
C'est une immortelle couronne que rien ne flétrit, c'est sa paix.
Strophe 3
3. Que la paix coule, comme un fleuve qui porte au loin ses grandes eaux, et que mon âme s'en abreuve, comme un agneau près des ruisseaux.
Du haut de ta sainte montagne répands-la selon nos souhaits ;
Et que ton Esprit l'accompagne, roi de Salem ! Prince de Paix !
Texte de Henri Lutteroth
AF384. C'est moi,
c'est moi qui vous console.
Issu du recueil « Ailes de la Foi » — Thèmes : Epreuves et consolations – Paix