O Dieu dont la tendresse.
AF155. Ahasvérus Fritsch
Strophe 1
1. O Dieu, dont la tendresse
égale la puissance, toi qui daignas veiller sur eux dès leur naissance, regarde ces enfants devant toi prosternés, te louer pour les biens que tu leur as donnés.
Strophe 2
2. Pour le foyer paisible où tu les as fait naître, pour le Livre qui leur apprit à te connaître, pour le bonheur présent, pour le bonheur passé, pour ton cœur, que jamais leurs fautes n'ont lassé.
Strophe 3
3. Aujourd'hui, de ton ciel, demeure paternelle où tu leur as promis une gloire éternelle, daigne, tandis qu'ils sont
à genoux devant toi, les baptiser d'amour, d'espérance et de foi.
Strophe 4
4. Ah ! que leurs faibles mains s'unissent dans la tienne, que dans tous leurs combats ta grâce les soutienne, et, qu'à travers les bons, comme les mauvais jours, ce soit de ton regard qu'ils vivent toujours.
Texte de Ruben Saillens
AF155. O Dieu dont la tendresse.
Issu du recueil « Ailes de la Foi » — Thème : Mariage, Famille