AF072. Friedrich Ferdinand Flemming
Strophe 1
1. Ah ! si ton sang, si ta mort, si ta vie ne me disaient ta clémence infinie, où trouverais-je, au sein de ma misère, force et lumière ?
Strophe 2
2. Où trouverais-je une telle tendresse ?
À quel ami confier ma tristesse ?
C'est en toi seul que j'ai mon espérance, dans ma souffrance.
Strophe 3
3. Je te bénis de ta grâce éternelle, toi qui m'élus, toi, mon Sauveur fidèle, qui veut conduire à la paix glorieuse mon âme heureuse !