O toi qui fus fondée
ATG385. Alexander Ewing
Strophe 1
1. O toi qui fus fondée
Sur l'immortalité,
Par Dieu même gardée,
Glorieuse cité,
Ma voix, mon cœur palpitent
D'espérance et d'émoi :
Heureux ceux qui t'habitent,
Demeure du grand Roi !
Strophe 2
2. Parfois aussi la crainte
Vient obscurcir ma foi.
N'es-tu pas, cité sainte,
Trop sainte, hélas, pour moi ?
Alors, sous tes portiques,
Vibrant jusqu'à mon cœur,
J'entends de doux cantiques
Louer le Christ vainqueur !
Strophe 3
3. Séjour où Dieu m'invite,
Je ne sais pas encor
Quelle splendeur s'abrite
Dans tes murailles d'or :
J'ignore, mais j'espère.
J'ignore, mais je sais
Que là-haut est mon Père,
Et pour moi, c'est assez !
Texte de Ruben Saillens
ATG385. O toi qui fus fondée
Issu du recueil « À Toi la Gloire » — Référence : Apocalypse 21.10-27
— Thème : Le ciel