Le temps s'enfuit.
AF455. Felix Mendelssohn
Strophe 1
1. Le temps s'enfuit, l'heure passe,
Le jour fait place à la nuit ;
Tout disparaît et s'efface,
Tout meurt et s'évanouit ;
Oh ! ne perdons pas courage,
Disons-nous que, chaque jour,
Nous approchons du rivage.
Divin séjour !
Strophe 2
2. Puisque le Seigneur de gloire
Est venu nous secourir,
Puisqu'il nous suffit de croire
Pour qu'Il veuille nous guérir,
Confions-nous en sa grâce ;
À tous Il dit : « Viens et crois !
Je suis mort à votre place,
Mort sur la croix ! »
Strophe 3
3. Encore un peu de souffrance,
De combats et de travaux,
Puis viendra la délivrance
Et l'heureux jour du repos.
Je veux, ô mon tendre Père,
Vivre pour toi désormais
Jusqu'au bout de ma carrière…
Oui, pour jamais !
Texte de Auguste Fisch
AF455. Le temps s'enfuit.
Issu du recueil « Ailes de la Foi » — Thèmes : Fuite du temps - Nouvel An – Soir