Sainte Sion, ô patrie éternelle.
AF440. Samuel Arnold
Strophe 1
1. Sainte Sion, ô patrie éternelle !
Palais sacré qu'habite le grand Roi !
Où doit sans fin régner l'âme fidèle.
Quoi de plus doux que de penser à toi !
Strophe 2
2. Dans tes parvis, tout est joie, allégresse,
Chants de triomphe, ineffables plaisirs ;
Là, plus de deuil, plus de maux, de tristesse ;
Là, plus d'ennuis, de langueurs, de soupirs.
Strophe 3
3. Tes habitants ne craignent plus l'orage ;
Ils sont au port, ils y sont pour jamais.
Leur ciel est pur, il n'a plus de nuage ;
Dieu dans leur cœur fait demeurer la paix.
Strophe 4
4. Pour les élus il n'est plus d'inconstance ;
Tout est soumis aux lois d'un saint amour ;
Sur eux le mal a perdu sa puissance :
C'est Dieu qui règne en cet heureux séjour.
Strophe 5
5. O mon Sauveur, qui par ton sacrifice,
À ton enfant ouvris ces nouveaux cieux.
Tu m'as couvert de ta sainte justice :
Vers ta Sion j'élève en paix mes vœux.
Texte de Recueil de la Confession d'Augsbourg
AF440. Sainte Sion, ô patrie éternelle.
Issu du recueil « Ailes de la Foi » — Thème : Le ciel