AF321. Dimitri Bortniansky
Strophe 1
1. Oh ! que ton joug est facile !
Oh ! combien j'aime ta loi !
Dieu Saint, Dieu de l'Évangile,
Elle est toujours devant moi.
De mes pas c'est la lumière,
C'est le repos de mon cœur ;
Mais pour la voir tout entière,
Ouvre mes yeux, bon Sauveur !
Strophe 2
2. Non, ta loi n'est point pénible
Pour quiconque est né de Toi ;
Toute victoire est possible
À qui combat avec foi.
Seigneur, dans ta forteresse,
Aucun mal ne m'atteindra ;
Si je tremble en ma faiblesse,
Ta droite me soutiendra.
Strophe 3
3. D'un triste et rude esclavage
Affranchi par Jésus-Christ,
J'ai part à ton héritage,
Au secours de ton Esprit.
Au lieu d'un maître sévère,
Prêt à juger et punir,
Je sers le plus tendre Père,
Toujours prêt à me bénir.
Strophe 4
4. Dieu qui guides, qui consoles,
J'ai connu que le bonheur
C'est de garder tes paroles,
Et je les serre en mon cœur.
Fais-moi marcher dans ta voie
Et me plaire en tes statuts :
Si je cherche en Toi ma joie,
Je ne serai pas confus.
Texte de Mme de Maison
AF321. Oh ! que ton joug est facile.
Issu du recueil « Ailes de la Foi » — Thème : Sanctification - Obéissance